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jeudi 1 septembre 2016

Non, la Ligue des Champions n'est pas plus difficile que jadis !

Si ce n'est en dénonçant l'achat du match contre l'AC Milan, bon nombres de détracteurs de l'Olympique de Marseille soutiennent qu'il était très aisé de remporter la Ligue des Champions en 1993 (soit l'ancien temps). Désormais, cela s'avère être une mission encore plus périlleuse que les 12 travaux d'Hercule. Mon honneur de supporteur du club phocéen mais aussi une étude un peu plus pointue du mode qualification, des évolutions réglementaires mais aussi du mode de rémunération des clubs participants m'obligent à battre en brèche cette fausse idée.

mardi 5 janvier 2016

Zidane et l'échec Inzaghi

Zinédine Zidane est enfin entraîneur. Les médias français semblent d'ors et déjà convaincus tant l'enfant de Marseille a fait rêver les foules. De l'autre côté des Pyrénées, et notamment du côté des socios, l'avis est moins unanime. Cette situation est non sans rappeler celle d'un autre joueur phare des années 90/2000 avec qui Zidane a d'ailleurs joué.



mercredi 4 novembre 2015

A-t-on a raison d'être satisfait après une défaite ?

Hier soir, le PSG a dominé le Real. Durant certains moments, notamment en fin de 1ère période, les joueurs parisiens ont même baladé leurs homologues madrilènes. Oui, mais le Real a déjà fait la différence et gardera son avantage jusqu’à la fin du match malgré beaucoup de sueurs froides. Pour les joueurs et le staff parisien, il s’agit d’un match exceptionnel. Ils sont en cela rejoint par bon nombres de supporteurs et d’observateurs. Pourtant cela reste une défaite. Paradoxe. Est-ce suffisant pour ce PSG ?

lundi 5 octobre 2015

Premier League : Et si le problème venait des bancs de touche ?

"Quand on réfléchit à la qualité de joueurs qu'on a, est-ce qu'un seul de ces joueurs qui jouent dans nos meilleurs clubs aurait sa place à Barcelone, au Real ou au Bayern ? J'en doute. Sauf peut-être Sergio Aguero, c'est l'exception". Même après sa retraite, Paul Scholes est toujours aussi bon quand il tacle. Si cette phrase est globalement vraie, elle ne dit peut-être pas toute la vérité sur les maux de la Premier League.

mardi 21 octobre 2014

Viva la Revoluciòn !!


En ce moment, rien ne résiste à l'OM et Bielsa. Ni les équipes adverses ni les cœurs de tous les suiveurs de la L1. L'entraineur argentin n'est pas arrivé sur la pointe des pieds. Au contraire, par une comm' savamment orchestré par le président Vincent Labrune, Bilesa a débarqué en sauveur. Rapidement renommé le Fada, il a tout de suite été adopté par les supporteurs de l'OM comme en témoigne son accueil à la Commanderie.